Une dernière petite saucette à la plage et nous voilà déjà en train de faire nos bagages. Nous prenons l'avion demain matin et, si tout va bien, nous serons de retour à Montréal vendredi matin. Nous avons très hâte de tous vous retrouver, même dans le froid!
mercredi 4 mars 2009
lundi 2 mars 2009
"L'électricité, c'est la vie!"
Selon Alex. C'est ce qu'il a crié lorsque la lumière est revenue après, ma foi, cinq ou six heures d'absence. Ben oui, Hugues, juste après avoir skypé avec toi, tout s'est éteint d'un coup par che nous. Je crois qu'on a eu droit à une panne d'électricité dans chaque pays qu'on a visité.
On a écouté Persepolis et joué à Mario Party sur le DS dans le noir le plus complet. Nous sommes descendus souper au restaurant thaï du coin. Le ciel étoilé était magnifique au-dessus de cette profonde noirceur. Dommage que ça se photographie plutôt mal...
On a écouté Persepolis et joué à Mario Party sur le DS dans le noir le plus complet. Nous sommes descendus souper au restaurant thaï du coin. Le ciel étoilé était magnifique au-dessus de cette profonde noirceur. Dommage que ça se photographie plutôt mal...
Retour en arrière
En ce 14 février 2009, notre réveil-matin sonnera à 3h30. On doit prendre l'autobus pour le Honduras à 4h. Quinze heures d'autobus. Décourageant, juste à y penser. Mais finalement, ça n'aura pas été si pire. On voyageait en bus de luxe. Imaginez, Alex avait de la place pour mettre ses jambes.
Nous arrivons à La Ceiba, la ville en face des îles de la Baie, ver 18h. On se trouve un hôtel plutôt miteux et on sort souper. Au Pizza Hut. Ouin, une belle soirée de St-Valentin.
Le lendemain matin, un taxi nous attend pour nous conduire au ferry. En chemin, on arrête dans une dizaine de guichets avant qu'un ne fonctionne. Le chauffeur exige qu'on lui paie le double du prix demandé à cause de tous ces arrêts. On se fait royalement avoir et j'ai vraiment hâte de quitter La Ceiba.
À Utila, même problème de guichet. Et notre hôtel ne prend pas la carte de crédit. Bon, on change de chambre. J'étais contente. Le Mango Inn était beaucoup mieux que le Colibri. On avait une belle grande piscine. Une chance parce qu'à Utila il n'y qu'une plage et elle est pleine de sand flies.
Nous y sommes restés deux jours seulement. À part la plongée sous-marine, il n'y a grand chose à faire
Et maintenant, nous voilà à Roatan et vous connaissez la suite!
dimanche 1 mars 2009
West Bay
Je viens de changer 2 pièces d'équipement pour mes plongées en apnée.Il ne reste que 4 jours mais mes palmes étaient déchirées et mon tuba prenait l'eau. Même Valérie s'est équipée de palmes. Ici les prix sont ridiculement bas, presque la moité du prix comparé à Montréal. Alors Val m'a fait un beau cadeau!!
Aucune idée c'est quoi, mais ça mesurait 1m.
Ça parait pas, mais il est quand même gros, une grosse pizza large mettons.
Un couple je crois.
Lui aussi aussi gros qu'une pizza large.
Plongeurs
L'endroit où l'on passe nos journées. Plage de West Bay.
jeudi 26 février 2009
mercredi 25 février 2009
Dring dring
Je suis partie depuis presque deux mois, je dors dans une forêt de bambous et j'hallucine encore ma sonnerie de téléphone. Non, mais, décroche Val!
Pas de nouvelles, bonnes nouvelles
C'est qu'il pleut depuis quatre jours. On ne fait pas grand chose, on n'écrit pas grand chose.
Hier matin, le soleil nous a laissé croire qu'on aurait droit à une belle journée. Alex et moi avons loué un scooter pour vingt-quatre heures et sommes revenus une heure et demie plus tard. La pluie, encore.
Cet après-midi, nous avons profité d'une percée de soleil pour descendre manger une crème glacée au village. Il faisait beau et chaud. Nous sommes remontés mettre crème, anti-moustique et maillots de bain, mais la pluie s'en est encore mêlée. Câline de bine. Je n'ai pas envie de perdre mon beau bronzage avant de revenir dans le froid du Québec. Ce serait vraiment trop triste.
Hier matin, le soleil nous a laissé croire qu'on aurait droit à une belle journée. Alex et moi avons loué un scooter pour vingt-quatre heures et sommes revenus une heure et demie plus tard. La pluie, encore.
Cet après-midi, nous avons profité d'une percée de soleil pour descendre manger une crème glacée au village. Il faisait beau et chaud. Nous sommes remontés mettre crème, anti-moustique et maillots de bain, mais la pluie s'en est encore mêlée. Câline de bine. Je n'ai pas envie de perdre mon beau bronzage avant de revenir dans le froid du Québec. Ce serait vraiment trop triste.
vendredi 20 février 2009
Alex à la mer...
Je vous avoue que pour les prochains jours on ne bougera pas d'ici,
alors ça va être des belles photos sous-marines en général.
Très laid
Poisson perroquet, environ 45cm de long.
Un céphalopode, 30cm
Aucune idée c'est quoi.
mercredi 18 février 2009
vendredi 13 février 2009
Le jour où je suis devenue grande
Nous sommes allés visiter le marché de Santa Clara, un village tout près de San Marcos. Pouvez-vous croire que je dépassais tout le monde d'une bonne tête? Une nouvelle sensation pour moi.
San Marcos la Laguna
Que dire de San Marcos? C'est joli comme tout. Des rues qui n'en sont pas, un lac à couper le souffle et une vue époustouflante sur les volcans. Mais un peu trop de hippies à mon goût. Moi, du monde trop bien et trop heureux, ça m'énarve.
Lorsque nous sommes arrivés à l'auberge où dormaient Isabelle, Annie et Aurélien, deux-trois personnes faisaient leur salutation au soleil sur le gazon. C'est peut-être moi qui ai un problème, mais ça me rend mal à l'aise ces situations là. Au fond, ça m'aurait peut-être aidé me joindre à eux.
À part de ça, j'ai adoré. Trois jours à ne rien faire. On a pris du soleil sur le quai. Alex s'est même permis un plongeon dans le fameux lac Atitlan. J'ai voulu l'imiter jusqu'à ce que je voie sa tronche sortir de l'eau. L'eau avait l'air pas mal froide.
Nous avons fait du kayak une trentaine de minutes seulement. J'avais trop peur de chavirer. C'est pas très stable un vieux kayak hein?
Lors de notre premier soir à San Marcos, un restaurant passait Slumdog Millionaire. Wow. Je suis passée par toute la gamme d'émotions en le visionnant. L'avez-vous vu vous autres?
Lorsque nous sommes arrivés à l'auberge où dormaient Isabelle, Annie et Aurélien, deux-trois personnes faisaient leur salutation au soleil sur le gazon. C'est peut-être moi qui ai un problème, mais ça me rend mal à l'aise ces situations là. Au fond, ça m'aurait peut-être aidé me joindre à eux.
À part de ça, j'ai adoré. Trois jours à ne rien faire. On a pris du soleil sur le quai. Alex s'est même permis un plongeon dans le fameux lac Atitlan. J'ai voulu l'imiter jusqu'à ce que je voie sa tronche sortir de l'eau. L'eau avait l'air pas mal froide.
Nous avons fait du kayak une trentaine de minutes seulement. J'avais trop peur de chavirer. C'est pas très stable un vieux kayak hein?
Lors de notre premier soir à San Marcos, un restaurant passait Slumdog Millionaire. Wow. Je suis passée par toute la gamme d'émotions en le visionnant. L'avez-vous vu vous autres?
dimanche 8 février 2009
Antigua en photos
Notre premier déjeuner à Antigua. Le meilleur du voyage. Ils ont cueilli les oranges devant nous pour faire notre jus.
Le mercado. C'est épouvantable tout ce qu'on peut trouver là-dedans. Lorsqu'on voit quelque chose qu'on veut, il faut l'acheter immédiatement, sinon bonne chance pour le retrouver plus tard. Un vrai labyrinthe.
Isa et Val qui cherchent un bar où aller prendre un verre et grignoter. Ce n'est pas compliqué se repérer à Antigua. La ville est tracé au acrré. Il faudrait seulement qu'ils indiquent le noms des rues. On doit presque compter nos pas pour ne pas se perdre.
La terrasse de notre auberge.
La vue d'Antigua de notre chambre. Des montagnes et des volcans: le paysage de fond de la ville.

La terrasse du McDo. Sans doute l'une des plus belles du monde! Et internet est gratuit. Deux bonnes raisons pour aller se bourrer de Big Mac.
Le volcan Pacaya.
La fin de semaine, les vendeurs d'artisanat s'installent dans la rue. Pacaya en arrière plan.
De gros bacs d'eau pour faire son lavage.
Rue d'Antigua.
samedi 7 février 2009
Fallait que ça arrive
Je suis tombée. En plein milieu de la rue, en la traversant. Étendue de tout mon long sur les pavés croches d'Antigua. Si Alex ne me retenait pas par la main, je roulais par terre. La honte.
Je tenais à le mentionner ici parce que je ris toujours des gens qui tombent. Et j'ai un peu peur pour mon karma. Donc, pour l'équilibrer un peu, je m'humilie un peu devant vous.
Je tenais à le mentionner ici parce que je ris toujours des gens qui tombent. Et j'ai un peu peur pour mon karma. Donc, pour l'équilibrer un peu, je m'humilie un peu devant vous.
Antigua
Des cafés avec des croissants, des bagels et du vrai fromage à la crème. Des jardins et des cours intérieures fleuries. Des spectacles. Des librairies. Une vie culturelle. Des ruines dispersées un peu partout.
Il y a plein d'école d'espagnol. J'ai déjà décidé de revenir perfectionner ma troisième langue ici l'année prochaine.
Nous sommes ici jusqu'à lundi. On ne fait rien de spécial, mais c'est agréable.
Jeudi dernier, nous avons passé l'après-midi et la soirée avec Isabelle, Annie et Aurélien, des amis de Montréal. Ça faisait du bien. Nous allons peut-être les recroiser au lac Atitlan la semaine prochaine.
Je vous laisse. On s'en va voir The Big Lebowski.
Quand on l'a pas...
Il semble qu'Alex + moi n'égale pas autobus.
À Flores, on nous avait dit d'être devant tel hôtel à 20h30 pour prendre le bus qui nous amènerait à Antigua. Ce qu'on a fait. La dame prend nos billets et tout est beau. On part. On s'arrête de l'autre côté du pont à Santa Elena pour ramasser d'autres personnes. On attend une quinzaine de minutes. On semble sur le point de partir lorsque le chauffeur vient nous voir et nous dit de sortir. Nous n'avons pas pris le bon autobus. Euh... ok. La dame du début n'aurait pas pu nous le dire?
C'est souvent comme ça ici. Il faut toujours poser des questions. Si je ne me débrouillais pas un minimum en espagnol, je crois qu'on n'aurait jamais su pourquoi on devait débarquer.
L'autre autobus est arrivé dix minutes plus tard et trajet jusqu'à Guatemala Ciudad a bien été. De là, on devait prendre un chicken bus jusqu'à Antigua. Pas de problème là non plus. On met nos bagages sur le top, on monte à bord et on part. Et on s'arrête deux coins de rue plus loin. Et on attend. On ne sait pas pourquoi. On l'a su un quart d'heure plus tard lorsqu'un des passagers a osé demander au chauffeur ce qui se passait. On attendait un autre autobus dans lequel se trouvait une personne qui devait embarquer avec nous.
Après une heure d'attente, quelques uns se sont tannés et ont commencé à chercher des taxis. Lorsque le chauffeur a compris qu'il allait perdre ses passagers, il a écrasé sa cigarette et a dit: "Vamos!". Euh... pourquoi nous avoir fait poireauter une heure alors? Parfois, il n'y a juste rien à comprendre.
À Flores, on nous avait dit d'être devant tel hôtel à 20h30 pour prendre le bus qui nous amènerait à Antigua. Ce qu'on a fait. La dame prend nos billets et tout est beau. On part. On s'arrête de l'autre côté du pont à Santa Elena pour ramasser d'autres personnes. On attend une quinzaine de minutes. On semble sur le point de partir lorsque le chauffeur vient nous voir et nous dit de sortir. Nous n'avons pas pris le bon autobus. Euh... ok. La dame du début n'aurait pas pu nous le dire?
C'est souvent comme ça ici. Il faut toujours poser des questions. Si je ne me débrouillais pas un minimum en espagnol, je crois qu'on n'aurait jamais su pourquoi on devait débarquer.
L'autre autobus est arrivé dix minutes plus tard et trajet jusqu'à Guatemala Ciudad a bien été. De là, on devait prendre un chicken bus jusqu'à Antigua. Pas de problème là non plus. On met nos bagages sur le top, on monte à bord et on part. Et on s'arrête deux coins de rue plus loin. Et on attend. On ne sait pas pourquoi. On l'a su un quart d'heure plus tard lorsqu'un des passagers a osé demander au chauffeur ce qui se passait. On attendait un autre autobus dans lequel se trouvait une personne qui devait embarquer avec nous.
Après une heure d'attente, quelques uns se sont tannés et ont commencé à chercher des taxis. Lorsque le chauffeur a compris qu'il allait perdre ses passagers, il a écrasé sa cigarette et a dit: "Vamos!". Euh... pourquoi nous avoir fait poireauter une heure alors? Parfois, il n'y a juste rien à comprendre.
vendredi 6 février 2009
Flores
Jolie petite île. Les habitants prennent soin de leur maison. Tout, ou presque, a l'air d'être fraîchement peint. Et les couleurs sont vives. Mon style. Il n'y a pas grand chose à faire par contre. On en fait vite le tour. Mais nous avons bien aimé.
Notre hôtel et son restaurant. C'est là que nous avons déjeuné durant tout notre séjour à Flores.
Et voici la vue qu'on avait.
Inscription à :
Commentaires (Atom)